La laitière [the milkmaid] graphite sur papier, 28x21cm |
Quant à l’artiste, si j’ai eu du plaisir lors des deux réalisations, j’admets mieux me reconnaître dans la version au graphite que dans celle à la tempera. J’ai traité le dessin comme une peinture, utilisant des blocs plutôt que des crayons, mais surtout, j’ai pu y déployer mon énergie avec une plus grande spontanéité. Pourquoi ? Je l’ignore. C’est un simple constat.
Ce qui me paraît de plus en plus avéré, c’est qu’une image m’apparaît de plus en plus pour elle-même, hors de toute considération technique ou stylistique.
Dessin ou peinture ? Qu’importe, il faut que ça sorte, que le plaisir l’emporte ! « kiss »
Pour nos amis anglophones, voici la version de Christina :
English Résumé
Never Say NeverHere is to end my reflection – an evaluation of my relationship between drawing and painting.
La laitière [the milkmaid] tempera sur Arches, 41x31cm [egg tempera] |
As for the artist, if I had fun at both achievements, I must admit that I recognise myself better in the graphite version than the tempera one. I treated the drawing as a painting, using blocks instead of pencils, but most of all, I was able to deploy my energy with greater spontaneity. What for ? I don’t know. It’s a simple fact.
What seems increasingly proved is that a picture appears to me more and more as herself, outside of any technical or stylistic consideration.
Drawing or painting ? Whatever… just make sure that the fun wins ! "kiss"
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